Webzine musical sans frontière

Jérome Pifunk

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Moi, entouré de proches

La vie en musique(s)

La musique, je suis tombé dedans tout petit, bercé par des musiques traditionnelles du monde entier, de la musique classique, de la chanson française…

Au collège, ça a commencé par le rock, influencé par les ainés, les copains, et deux élèves, des frères débarquant d’Irlande avec des cassettes de U2 (oui des cassettes !). En même temps naît une passion pour Bob Marley, le reggae et toutes les musiques jamaïcaines.

Ensuite le hip hop au lycée : souvenir du walkman jaune d’un pote, qui me pose le casque sur les oreilles, Run DMC, des scratchs, des samples, des guitares rocks. La grosse claque et une porte qui s’ouvre grâce à Public Enemy, Beastie Boys

La passion pour les samples et la recherche des titres d’origine commencent : à l’époque pas de moyen simple, à part les notes de pochette, la presse musicale et l’oreille.

De là une plongée totale dans la soul, le funk, le gospel et tout ce qui groove (l’afrobeat, l’éthiojazz…). Et surtout le P-funk ! Parliament et Funkadelic représentent pour moi la synthèse absolue de toutes ces musiques et du rock, dans un fonctionnement collectif à géométrie variable, d’une richesse inépuisable. Mais le rock reste toujours présent à travers Nirvana, les Pixies

Autres claques musicales :
– une inattendue, l’opéra (le déclic : une invitation à un opéra de Verdi à Bastille), s’ensuit la découverte de la musique classique, baroque ;
– le trip hop : Massive Attack, Portishead (et donc des samples encore des samples !)
– le Wu-tang Clan

En parallèle, j’ai toujours fréquenté les médiathèques, les disquaires et les salles de concert (Paris, puis Montpellier, Nîmes…). Parmi les souvenirs : Gainsbourg, Red Hot, Fishbone à l’Elysée Montmartre, les soirées du Rockstore, Solomon Burke, Funkadelic au théatre de la mer à Sète et à New York (le rêve), Shantel au Cargo d’Arles, Sharon Jones, Lee Fields, Charles Bradley, BCUC au Jam (Montpellier), Monophonics au Club de Paloma
Les bons concerts aux Arènes de Nîmes : Massive Attack, Bjork, Radiohead, Arctic Monkeys, Black Keys
Plus récemment, des grands moments d’émotion : Kevin Morby, Cat Power, Black Pumas+Michael Kiwanuka.

Merci Paloma !

A Nîmes, l’arrivée de Paloma est une bénédiction à double titre, les concerts et les rencontres. Parmi elles : Lëa, vous savez, la fée aux boucles blondes qui connaît tous les gens impliqués dans la musique à Nîmes. Grâce à elle je rencontre l’inénarrable Aina, devenu mon complice, et je m’engouffre naturellement dans l’aventure Sac à Son.
Une même façon de voir la musique, sans barrière, sans frontière : la curiosité, l’ouverture, la convivialité plutôt que la hype, la condescendance et le jugement.

Les bons moments s’accumulent : les concerts et festivals par dizaines (Tinals (snif), les afters Tinals, les Suds à Arles, le Bazr à Sète), les premières interventions à la radio avec Jessica (l’émission le micro-ondes à Vauvert, et gros big up au Musight Club qui nous a mis le pied à l’étrier), les raclettes, tartiflettes, le rhum, la voiture qu’on ne retrouve pas sur le parking de Paloma ou dans la rue (#fourrière), les soirées, la feria avec la playlist du Prolé qu’on ne publiera jamais, le funky rooftop à l’Archipel, le concert à la maison de Shelley Short
Et que ça continue ainsi !

Mon rôle dans le Webzine :

Une playlist de10 titres (c’est de la torture) :

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